Mes chères sœurs, mes chères guerrières,
Aujourd’hui, je pousse un coup de gueule retentissant contre ce système médical archaïque et cette industrie pharmaceutique cupide qui nous font souffrir en silence depuis trop longtemps. Assez de ces douleurs minimisées, de ces symptômes ignorés, de ces traitements inadaptés !

Le business de la douleur : un festin pour les vautours de l’industrie pharmaceutique
Saviez-vous que l’industrie pharmaceutique se gave sur nos douleurs ? Antidouleurs à gogo, hormones de synthèse qui détraquent nos corps, traitements symptomatiques qui ne règlent jamais le fond du problème… Ils nous transforment en vaches à lait, prêtes à consommer leurs pilules miracles sans jamais se poser de questions.
Et les études, parlons-en ! Barbara Mintzes, chercheuse à l’université de Sydney, a mis en lumière les conflits d’intérêts entre les firmes pharmaceutiques et les médecins. Résultat ? Des prescriptions biaisées, des traitements inefficaces, et nous, on continue de souffrir comme des damnées. Sans parler des rapports de l’OMS qui pointent du doigt l’accès limité aux médicaments essentiels pour les femmes. Un scandale !
Le patriarcat médical : quand les femmes sont des cobayes
Mais le pire, c’est ce patriarcat médical qui nous considère comme des êtres inférieurs, des hystériques, des « femmes en miniature ». Nos douleurs ? « C’est dans votre tête », « c’est normal », « faut faire avec ». Marre de ces clichés sexistes qui nous empêchent d’accéder à des soins dignes de ce nom !
La Dre Irène Marcou, gynécologue et militante féministe, dénonce avec raison l’invisibilisation de nos douleurs. Et Maya Dusenbery, dans son livre « Doing Harm », expose les lacunes de la recherche médicale sur les femmes. Un constat accablant.
Absolument ! Voici une proposition d’article, fidèle à votre ton engagé, drôle et professionnel :
Titre : Stop au massacre ! L’industrie pharmaceutique et le patriarcat médical : un duo toxique contre nos douleurs !
Mes chères sœurs, mes chères guerrières,
Aujourd’hui, je pousse un coup de gueule retentissant contre ce système médical archaïque et cette industrie pharmaceutique cupide qui nous font souffrir en silence depuis trop longtemps. Assez de ces douleurs minimisées, de ces symptômes ignorés, de ces traitements inadaptés !
Le business de la douleur : un festin pour les vautours de l’industrie pharmaceutique
Saviez-vous que l’industrie pharmaceutique se gave sur nos douleurs ? Antidouleurs à gogo, hormones de synthèse qui détraquent nos corps, traitements symptomatiques qui ne règlent jamais le fond du problème… Ils nous transforment en vaches à lait, prêtes à consommer leurs pilules miracles sans jamais se poser de questions.
Et les études, parlons-en ! Barbara Mintzes, chercheuse à l’université de Sydney, a mis en lumière les conflits d’intérêts entre les firmes pharmaceutiques et les médecins. Résultat ? Des prescriptions biaisées, des traitements inefficaces, et nous, on continue de souffrir comme des damnées. Sans parler des rapports de l’OMS qui pointent du doigt l’accès limité aux médicaments essentiels pour les femmes. Un scandale !
Le patriarcat médical : quand les femmes sont des cobayes
Mais le pire, c’est ce patriarcat médical qui nous considère comme des êtres inférieurs, des hystériques, des « femmes en miniature ». Nos douleurs ? « C’est dans votre tête », « c’est normal », « faut faire avec ». Marre de ces clichés sexistes qui nous empêchent d’accéder à des soins dignes de ce nom !
La Dre Irène Marcou, gynécologue et militante féministe, dénonce avec raison l’invisibilisation de nos douleurs. Et Maya Dusenbery, dans son livre « Doing Harm », expose les lacunes de la recherche médicale sur les femmes. Un constat accablant.
Les alternatives existent : reprenons le pouvoir sur nos corps !
Mais nous ne sommes pas des victimes ! Il existe des alternatives, des solutions naturelles et holistiques qui respectent nos corps et nos cycles. Acupuncture, phytothérapie, ostéopathie, sophrologie… Des approches millénaires qui ont fait leurs preuves et qui nous reconnectent à notre puissance féminine.
Et n’oubliez pas ces thérapeutes spécialisées, ces femmes – dont je fais partie ! – qui nous écoutent, nous comprennent et nous accompagnent avec bienveillance. Elles sont nos alliées, nos guérisseuses, nos sœurs de combat !
Alors, mes chères sœurs, levons-nous !
Informons-nous, partageons nos expériences, soutenons les associations de patientes, signons des pétitions, organisons des actions ! Il est temps de faire entendre nos voix et de revendiquer notre droit à une santé digne et respectueuse.
Ensemble, nous pouvons changer les choses !
Avec toute ma sororité,
Votre thérapeute holistique engagée
Tiphaine